Après cet épisode délicieusement sexuel et découvrant de nouveaux sentiments, E et K avaient besoin d'apprendre à se connaître. E emmena K chez lui et épuisés, ils s'endormirent tout de suite.
C'est K qui ouvrit les yeux en premier. Elle fut un peu perdue, ne connaissant pas cet environnement. Puis elle tourna la tête vers E et s'apaisa. Elle le regardait dormir et le savait, c'était lui. La chaussure à son pied, comme on dit.
Une sensation agréable la tira de sa torpeur. Elle avait envie de lui ! Malgré la journée de sexe qu'ils avaient passé la veille !
Sans le réveiller, elle passa sa tête sous les draps et prit en bouche sa délicieuse queue. Même sans érection elle était parfaite. Peu à peu, elle la sentait durcir dans sa bouche, jusqu'à être rigide comme une branche de séquoïa. Elle adorait ce moment. Elle s'activa de plus en plus fort. E était toujours endormi, mais poussait de légers grognements. K était déjà au bord de l'orgasme, et se sentait trempée. En continuant à le sucer, elle commença à se toucher, elle n'en pouvait plus de plaisir. Soudain elle leva les yeux et vit E en train de l'observer. Perturbée et un peu gênée, elle ôta les 3 doigts qu'elle s'était mis dans la chatte. Il lui prit alors doucement la main et lécha ses doigts plein de mouilles. K, encore plus excitée, se remit à le sucer. Il l'en empêcha : "C'est ton tour à présent". Elle refusa, se débattit mais il la plaqua sur le lit, et lui attacha les poignets au dessus de sa tête à l'aide d'un foulard. Il la regarda satisfait. Elle ne pouvait plus rien faire. Il alla chercher un autre foulard, et lui banda les yeux. K était rouge de rage mais continuait à mouiller abondamment. E l'embrassa tendrement sur la bouche, sur le cou, mordilla ses tétons, lécha son ventre pour arriver à son endroit préféré : sa chatte. Elle était si bonne et si bien formée, elle l'excitait tellement. Il glissa lentement sa langue entre ses deux lèvres et l'embrassa langoureusement. K s'était tue. S'agrippant à ses cuisses, E la lécha de plus en plus fort et profond. C'était délicieux, K était au bord de l'orgasme. Avec sa langue, il se faisait tantôt doux, tantôt plus violent. Il la rentrait parfois complètement dans sa chatte, ou en léchait les contours. Il adorait découvrir son intimité avec sa bouche. Sa mouille lui coulait dans la bouche, et il adorait ça.
K le suppliait, il fallait qu'il la pénètre maintenant, elle n'en pouvait plus. En guise de réponse, il se mit à califourchon, au dessus de sa bouche. Sentant l'odeur de son sexe, K le cherchait à tâtons. Quand elle l'eût trouvé, elle se jeta dessus avec avidité, et le suça comme jamais. MAis E ne la laissa pas faire bien longtemps, et lui retira son objet préféré. K le suppliait "Prends moi !" mais il la fit languir encore.
Il parcourait à présent tout son corps avec sa langue, lentement, savourant le goût de sa peau, et K en avait des frissons.
C'est lui n'en pouvait plus maintenant. K était toujours aveugle. D'un coup, il la pénétra violemment, lui arrachant un cri de plaisir. Il la pilona sauvagement sans s'arrêter, toujours plus vite, toujours plus fort. Il lui malaxait les seins avec rudesse et elle, les bras toujours au dessus de la tête, adorait ça. Elle hurlait de façon continue. Elle ne réussissait pas à controler le plaisir qui pénétrait en elle par vagues intenses.
Soudain, tout bascula, c'était l'orgasme, l'air qui ne semble plus vouloir entrer dans les poumons, le plaisir qui envahit le corps entier, la tête qui tourne. Il fut long et intense.
Quand elle reprit ses esprits, E la regardait. Il lui ôta ses foulards et continua à la pénétrer plus doucement, les yeux rivés dans les siens. Ils ne connaissaient pas encore le prénom de l'autre mais savaient que quelque chose de magique était en train de se passer. Jamais K n'avait ressenti le sexe de cette façon, tout, absolument tout son corps vibrait quand la queue de E était en elle.
Leur respiration devenaitde plus en plus saccadée, E se retira et retourna violemment K, face contre le lit. Elle en eut la respiration coupée. Il la pénétra brutalement, elle se sentit un objet sexuel et c'était bon. Il allait et venait en elle, ses seins toujours dans la main. Il gifla sa fesse, et le bruit de la claque les excita tous les deux au plus haut point.
K se rebella alors, s'extirpa de la douce étreinte et força l'homme à s'allonger sur le dos. Dans leur bataille, ils tombèrent au sol, mais c'est K qui gagna et n'attendant pas une seconde, elle s'empala contre la queue épaisse et rigide de E. Ils hurlèrent à l'unisson. Elle se frotta à lui langoureusement, puis plus sauvagement.
Elle se tourna alors et se pencha, la tête vers ses pieds, lui offrant une vue plongeant sur son postérieur. Il n'hésita pas une seconde, et y inséra deux doigts. Sans prévenir, l'orgasme frappa K une deuxième fois.
Ravi de l'effet qu'il avait provoqué, E se releva, plaqua K face contre le mur et la pilona encore. Il pencha ensuite le buste de K vers ses pieds comme une vulgaire poupée de chiffon, et réitéra l'expérience des doigts dans le cul. Une fois de plus, elle hurla.
Ca faisait plus d'une heure qu'ils baisaient, alternant entre douceur et violence.
E tentait de se controler mais il sentait la jouissance arriver. K comprit, se mit face à lui, lui offrant ses lèvres, sa poitrine et son visage entier. Dans la seconde K fut aspergée d'une énorme rasade de sperme épais, dont elle se délecta.