Après l'épisode du club, les deux amants n'avaient toujours pas sommeil. Le soleil était pourtant bien haut dans le ciel. Mais Karella et Esteban étaient encore plein d'émotion que leur avait procurée leur étreinte passionnée. Pendant qu'Esteban conduisait sa magnifique Leon blanche (qu'il bichonnait un peu trop à son goût), Karella le regardait. C'était dingue, cette rencontre, cette fusion. Elle se rendit compte qu'il lui avait appris à... c'était quoi le mot déjà ? aimer ! Jamais elle ne s'était sentie aussi vivante. Tout son corps vibrait quand il était là. Elle n'y tint plus et s'apprêtait à déboutonner son pantalon. Il l'arrêta, lui fit comprendre qu'il ne réussirait pas à bander après la nuit folle au club. Mais, ô surprise, sa queue parfaite se mit au diapason, et se durcit. Ravie, Karella la mit vite en bouche. Des restes de mouille et de sperme donnait à sa bite un goût délicieux. Celui du cul. Et le cul, elle adorait ça, surtout avec lui.
Elle le pompait, de plus en plus excitée. Quant à Esteban, il avait une main sur le volant, l'autre sur le cul de Karella. Il caressait son corps, la regardait s'activer sur sa queue rigide, épaisse, parfaite. Il n'en pouvait plus, suait, et était frustré de ne rien pouvoir faire sur la route. A tâtons, il chercha son string, s'aperçut qu'elle n'en avait pas (sûrement oublié au club) et satisfait, plongea un doigt dans sa chatte déjà mouillée comme les chutes du Niagara. Hallucinant comme cette fille pouvait démarrer au quart de tour ! Il y rentrait même la main entière, sans effort.
Elle n'en pouvait plus, se mit à califourchon sur lui. Sur l'autoroute, alors qu'il roulait à pus de 170 km/h !!!! Il lui dit d'arrêter, qu'elle était folle, mais bandait de plus belle, et un regard d'elle le fit taire. Sa tête enfoui dans son cou, Karella s'était empalée sur sa belle queue et remuait son bassin pour la faire entrer au plus profond de son corps. Elle gigotait sur lui, de plus en plus violemment, sans qu'Esteban ne puisse rien faire d'autre que d'essayer de controler sa voiture. Elle gémissait, lui tirait les cheveux, lui mordait le cou, agitant toujours son cul. Esteban se raidit, mû par l'excitation.
Soudain, une station essence, l'aubaine ! Il était à présent 10h du matin et personne à l'horizon. Esteban se gara comme s'il allait faire le plein, mais ce n'était pas de la voiture qu'il s'agissait ! Une fois le moteur coupé, le couple se rua hors de la Leon, se jeta par terre. Ils n'avaient même pas eu le temps d'atteindre le carré de gazon sur le bas-côté, et leurs corps gisaient là, sur le béton aux odeurs de gasoil. C'est sale !, s'exclama KArella, Je t'aime, lui répondit Esteban. Et ils se jetèrent l'un sur l'autre, Esteban la pénétra si violemment que le sol écorcha le dos de la jeune fille. En sang, elle continua tout de même à en réclamer plus. Ce sentiment nouveau déclencha de nouvelles pulsions. Il devait lui appartenir, laisser sa marque au plus profond d'elle, à jamais. Il la pilona, les yeux fermés, les lèvres serrées pour tenter de retenir l'orgasme qu'il sentait déjà monter en lui. Une dame passa à côté d'eux, ils la regardèrent d'un oeil lubrique, sans s'arrêter, pas gênés pour un sou. La passante, choquée, s'empressa de remonter dans sa voiture et de démarrer. Ils se regardèrent alors, et sans un mot, se comprirent. Esteban se leva, prit Karella par la main et ils coururent jusqu'au guichet. Il la plaqua alors contre la vitre, sa tête vint cogner sur la surface dure, mais elle s'écria : pénètre moi ! A l'intérieur, le vendeur les regardait, interdit. Esteban fit cambrer sa partenaire, et d'un coup sec, introduit sa bite dans sa chatte. Elle hurla. Esteban sortit ses seins du décolleté de la jeune fille et les malaxa, excité. Il mit ensuite ses mains sur ses hanches, guidant leur mouvement, et laissant la poitrine de Karella à la vue de tous.
Esteban se sentait hors de lui, une sensation bizarre, qu'il n 'avait jamais ressentie. Comme s'il avait besoin de plus, toujours plus, peu importe les conséquences. Il se recula, prit les cheveux de Karella, la retourna et la força à le sucer. Elle avait de la mouille partout dans la bouche, et elle sentait en couler encore le long de ses cuisses. Elle le suça avec avidité mais voulut reprendre le pouvoir. Elle se releva et plaqua Esteban contre la vitre. Elle se jeta sur lui, enroula ses jambes autour de sa taille et encore et encore il la pénétra. En même temps, il introduit un doigt dans le cul de Karella, ce qui la fit hurler. Il en introduisit alors 2 puis 3. Elle criait, gesticotait, n'en pouvait plus. Elle eut alors un orgasme énorme, qui la fit entrer en transe. Elle secouait la tête, avait les yeux exorbités, mordait son partenaire jusqu'au sang. Il lui fallut 5 bonnes minutes avant de se calmer. Essouflés et en sueur, ils jetèrent un regard à la ronde, et aperçut des clients et les vendeurs effarés. Les laissant en plan, ils s'enfuirent en courant.
Karella voulut rentrer, mais il n'en était pas question. Esteban lui en voulait de prendre du plaisir tant qu'elle voulait, de pouvoir avoir autant d'orgasmes que bon lui semblait. Il lui prit alors la main, bien décidé à la sauter encore.
Epuisée mais ravie, Karella le suivit et ils s'enfonçèrent dans les bois. Là, les amants s'en donnèrent à coeur joie. Ils reprirent tout depuis le début, et ils entreprirent un 69, elle dessus. Elle remuait sa chatte au gré de ses envies, lui enduisant de mouille le visage entier. Il adorait ça. Elle le suçait, mais quand le plaisir était trop fort, elle se relevait, assise sur sa tête, et savourait le délicieux savoir-faire d'Esteban. Puis remettait sa queue en bouche, léchait ses couilles, baisait son gland. C'était tellement bon. Quand midi sonna, ils en étaient encore là, la langue et les doigts d'Esteban perdus entre la chatte et le cul de KArella, et la bouche de celle-ci se délectant des moindres recoins de la bite du jeune homme.
Sans prévenir, la jeune fille s'allongea sur lui et tortilla des fesses pour faire entrer la queue d'Esteban dans sa chatte. Les deux corps essouflés étaient collés, dans un mélange de sueur, de mouille, d'odeur de sexe agréable. Mais Esteban en voulait plus. Il mit alors Karella en levrette, la pénétra pour récolter toute la mouille qui continuait de couler et bien lubrifier sa queue, lui lécha le cul, et entreprit de la sodomiser. L'orifice étroit de la jeune fille le rendit dingue. Non sans efforts, il parvint à lui fourrer le cul, et put se permettre d'être plus brutal. En lui tirant les cheveux, il allait et venait en elle, lui touchant les seins, lui mettant des doigts dans la chatte.
Il sentait qu'il allait jouir, mais étrangement Karella le prit de court et contre toute attente, elle jouit avant lui ! Alors qu'il était en train de la sodomiser ! Il s'activa alors, de plus en plus vite, pendant que sa partenaire était toujours en train de jouir, ôta sa bite de son cul, et jouit enfin, sur ses fesses, son dos. L'entendant jouir, KArella eut un nouvel orgasme,alors que le précédent n'était même pas terminé. Avec la queue d'Esteban qui venait de gicler, elle étala le sperme sur son cul, dans sa chatte, partout où elle pouvait. Elle le suça ensuite une dernière fois, juste pour avoir le goût de sa semence sur la langue et ne pas en laisser une goutte.
Juillet 2025 | ||||||||||
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