Le blog de lepoissonestdanslebocal

Elle marchait dans la rue, sa jupe légère dansait sur ses hanches au rythme du vent. Elle aimait cet air frais du printemps. Elle passa devant un café et le vit. Lui, blond aux yeux bleus magnifiques, qui la dévisageait. Des pieds à la tête, en passant par les fesses. Elle tira la chaise vide devant lui et s'assit. Ils restèrent un long moment sans se parler, juste à se regarder. Elle avait envie de lui, là, maintenant. Et il avait envie d'elle, elle le savait. Elle écarta soudain les jambes. Il comprit tout de suite, et sa main caressa son genou, remonta sa cuisse, tout doucement, et atteignit son entrejambe. Elle renversa la tête en arrière. Elle sentit couler son plaisir et n'attendit qu'une chose : qu'il mette ses doigts à l'intérieur. Elle n'en pouvait plus, et le goujeat la faisait languir. Elle prit alors la main de son compagnon de hasard, et l'enfourna dans sa chatte. Elle étouffa un cri. Le serveur se retourna. E. embrassa soudain K., pour cacher sa main, toujours entre ses cuisses ruisselantes de mouille. Sa langue se perdit dans la bouche de la jeune fille, ajoutant encore à son plaisir. Elle promena alors sa main sur son pantalon. Il bandait comme jamais elle n'avait senti un homme bander. Elle dévora sa bouche, son cou, elle n'en pouvait plus, il fallait qu'il la baise.

Un jeune homme attablé derrière eux avait découvert leur manège et glissa sa main dans son pantalon. Faisant mine de siroter son diabolo-menthe, il se branlait en les regardant faire. K se retourna, et le vit. Elle déboutonna discrètement E., dont elle ignorait encore le prénom, et le branla. Le jeans gênait ses mouvements, et cela la frustrait. Elle avait envie, besoin même de donner libre cours à ses pulsions. Elle continua tout de même à le caresser, tout en regardant le mystérieux observateur d'un oeil aguicheur. Elle aimait se sentir observée, elle aimait branler ce mec qu'elle ne connaissait pas, pendant qu'un autre inconnu se branlait en les regardant.

Elle ne tenait plus, elle avait envie de jouir.

Elle ôta la main de la queue de E, remit son string en place et se leva. Elle lui jeta un regard, et partit aux toilettes.

Il ne mit pas longtemps à la rejoindre. Ils se sautèrent enfin dessus. Comme des animaux en rut, ils en avaient tellement envie. E. prit K. dans ses bras, et sans même ôter les sous-vêtements de la jeune fille, l'adossa contre le mur et la pénétra. Elle hurla. Près de jouir, ils savourèrent ce moment délicieux, celui de la pénétration. E. reprit ses esprits et la pilona. De plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle ne pouvait pas s'empêcher de crier, c'était si bon. Il s'arrêta soudain, la posa à terre, et la retourna. Elle se pencha un peu, la tête écrasée contre le mur des toilettes, et il la repénétra. Ses mains avaient saisi ses seins à pleines paumes. Son sexe allait et venait dans celui de K.. Elle était tellement excitée que ça glissait à merveille. Sa main droite se détacha de sa poitrine et alla chercher plus bas, son clitoris. K rejeta la tête en arrière. Elle ne pouvait plus se retenir, c'était le moment, elle allait jouir. Et elle le savait, lui aussi.

Soudain, alertés par les gémissements indiscrets de K et de E, le serveur vint cogner à la porte.

Surpris, les deux amants s'arrêtèrent et sortirent en courant pour ne pas affronter son regard moqueur.

A bout de souffle au bout de 5 mn de sprint, ils ralentirent. La main dans la main, ils cherchaient un endroit où poursuivre leurs ébats. A gauche, un petit parc. Personne. La nuit tombait. Parfait. Ils s'allongèrent, et s'embrassèrent passionément. K ouvrit la braguette de E. et sortit sa queue. Elle la trouva magnifique, bandée, bien dessinée, longue et épaisse. Elle succomba, et la mit tout entière dans la bouche. Elle le suça longtemps, se délectant de son goût, léchant le moindre recoin de son intimité. C'était délicieux. Elle allait et venait, de plus en plus vite, caressait ses couilles. E. était au bord de la jouissance.

Elle enleva son string et s'assit à califourchon sur lui. Elle faillit jouir quand sa queue la pénétra une fois de plus. E. la regarda, dégrafa son corsage, laissant apparaître des seins magnifiques. K leva les yeux et, dans l'obscurité, près du chêne, elle aperçut quelque chose. Elle plissa les yeux. C'était quelqu'un. Le voyeur du bar, toujours occupé à se branler en les observant....

 

A suivre...

 

Ven 18 mar 2011 1 commentaire
g trouvé... mmmmm on va se regaler....
mounette - le 19/03/2011 à 00h21